Sarah Brahim remonte ses souvenirs dans un maelström de gestes et de sons

about 3 months ago (01/31/2024)

Sarah Brahim remonte ses souvenirs dans un maelström de gestes et de sons Cet article vous est offert Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous Se connecter Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ? Inscrivez-vous gratuitement Article réservé aux abonnés Vue d’ensemble de « Sometimes We Are Eternal », exposition de Sarah Brahim, à Lugano (Suisse), en octobre 2023. ANDREA ROSSETTI Elle était danseuse avant de venir à l’art, et cela se ressent à chaque pas dans Sometimes We Are Eternal (« parfois nous sommes éternels »), première exposition personnelle de l’artiste américano-saoudienne Sarah Brahim, 32 ans, que l’on avait pu découvrir à la dernière Biennale de Lyon, ici portée et accueillie par la Fondation Bally, sur les rives du lac de Lugano (Suisse).

» read more on Le Monde